André Kertész. Septembre à ma fenêtre. New-York. 1970

De quoi me protège la forteresse du moi ?
Du soleil, de la rencontre, de la vie.
Pauvre de moi qui contemple sa cour intérieure enfermé dans ses fabrications.
Qu’ai-je à perdre à me relever ?
C’est une réponse qui demande le temps d’une vie probablement.