Ronis. Marie-Anne sur le banc. Nogent-sur-Marne. 1988
S’agit-il d’un être perdu au fin fond d’une forêt majestueuse ou d’un individu relié à l’immensité qui le traverse, atome humain en écoute du chant des étoiles, poussière en contemplation de la danse cosmique, une insignifiance pleine du Tout ?
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