René Laubiès. 1922 – 2006 Mon imagination projette ce qui est en moi. Et j’aperçois dans cette touche, cette tâche, cette trace… un moinillon zen se laissant aller au gré des vents, n’allant ni contre eux ni avec. Simplement un personnage indéfini comme « moi ». Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ
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