Sagesse d’Einstein

  • Si l’idée n’est pas a priori absurde, elle est sans espoir.
  • Je ne crois pas au sens philosophique du terme, à la liberté de l’homme. Chacun agit non seulement sous une contrainte extérieure, mais aussi d’après une nécessité intérieure.
  • Une heure assis à côté d’une jolie femme semble durée une minute. Une minute assis sur un four brûlant semble durer une heure. C’est ça la relativité.
  • La connaissance s’acquiert par l’expérience, tout le reste n’est que de l’information.
  • Je n’ai pas échoué, j’ai trouvé dix mille moyens qui ne fonctionnent pas.
  • S’il n’y a pas de prix à payer, c’est que cela ne vaut rien.
  • Un problème sans solution est un problème mal posé.
  • Si vous ne pouvez expliquer un concept à un enfant de six ans, c’est que vous ne le comprenez pas complètement.
  • Je ne pense jamais au futur, il vient bien assez tôt.
  • Il y a deux façons de concevoir sa vie : une est de penser que les miracles n’existent pas et l’autre de penser que chaque chose est un miracle.
  • N’essayer pas de devenir un homme qui a du succès, essayez de devenir un homme qui a de la valeur.
  • Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue.
  • La vraie valeur d’un homme se détermine en examinant dans quelle mesure et dans quel sens il est parvenu à se libérer du moi.
  • Le hasard, c’est Dieu qui se promène incognito.
  • Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé.
  • Ce qui est incompréhensible, c’est que le monde soit compréhensible.
  • La vie, c’est comme une bicyclette : il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre.
  • Le mental intuitif est un don sacré et le mental rationnel est un serviteur fidèle. Nous avons crée une société qui honore le serviteur et a oublié le don.

Albret Einstein. Comment je vois le monde. Champs Flammarion. 2009