Parler pour ne rien dire et ne rien dire pour parler sont les deux principes majeurs et rigoureux de tous ceux qui feraient mieux de la fermer avant de l’ouvrir.
S’il est bon de ne rien dire avant de parler il est encore plus utile de réfléchir avant de penser.
Il faut une infinie patience pour attendre toujours ce qui n’arrive jamais.
Si la matière grise était plus rose, le monde aurait moins les idées noires.
La mort n’est, en définitive, que le résultat d’un défaut d’éducation puisqu’elle est la conséquence d’un manque de savoir vivre.
Les bons crus font les bonnes cuites.
A l’éternelle triple question toujours demeurée sans réponse : « Qui sommes-nous ? D’où venons-nous ? Où allons-nous ? » je réponds : « En ce qui me concerne personnellement, je suis moi, je viens de chez moi et j’y retourne ».
L’avenir de Monsieur est devant lui, et il l’aura dans le dos chaque fois qu’il fera demi-tour.
Un homme parti de zéro pour n’arriver à rien, n’a de merci à dire à personne.
On croit souvent qu’un appartement est bas de plafond, alors qu’il est tout simplement haut de plancher.
Pour trouver une aiguille dans une botte de foin, c’est facile : brûlez la botte et l’aiguille apparaîtra.
La télévision est faite pour ceux qui, n’ayant rien à dire, tiennent absolument à le faire savoir.
L’avenir, c’est du passé en préparation.
Le rire désarme, ne l’oublions pas.
La synthèse du monde peut se résumer en ces deux mots : oui et non.
Pour ceux qui vont chercher midi à 14 heures, la minute de vérité risque de se faire attendre longtemps.
Ce n’est pas en tournant le dos aux choses qu’on leur fait face.
Quand nous saurons une bonne fois d’où nous venons et où nous allons, nous pourrons alors savoir où nous en sommes.
C’est ce qui divise les hommes qui multiplie leurs différends.
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