Corot. Le chemin de Sèvres. Vue de Paris. 1865 Est-ce le mental asin qui conduit mon cheminement ou bien est-ce, tout simplement, que le courant de la vie qui me conduit ? Ainsi me laissant aller, je jouis de ce qui se passe, paisiblement et sans attente. Bénédiction d’être-là. Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ
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