Sagesse de Nietzsche
- La croyance que rien ne change provient soit d’une mauvaise vue, soit d’une mauvaise foi. La première se corrige, la seconde se combat.
- Souffrir de la solitude, mauvais signe : je n’ai jamais souffert que de la multitude.
- La maturité de l’homme, c’est d’avoir retrouvé le sérieux qu’on avait au jeu quand on était enfant.
- Toutes les vérités que l’on a tues deviennent venimeuses.
- Ma formule pour la grandeur de l’homme, c’est Amor fati. Il ne faut rien demander d’autre, ni dans le passé ni dans l’avenir, pour toute éternité.
- On n’entend que les questions auxquelles on est en mesure de trouver réponse.
- Qui se sait profond, s’efforce à la clarté : qui veut paraître profond aux yeux de la foule, s’efforce à l’obscurité. Car la foule tient pour profond ce dont elle ne peut voir les raisons : elle a si peur de se noyer !
- Notre prochain n’est pas notre voisin, mais le voisin de celui-ci.
- L’homme ne s’élève que par ses erreurs.
- Un seul a toujours tort, mais à deux commence la vérité.
- Chaque mot est un préjugé.
- Le désir est signe de guérison ou d’amélioration.
- Il vaut mieux être à la périphérie de ce qui élève qu’au centre de ce qui s’effondre.
- L’homme est une corde tendue entre la bête et le Surhomme, – une corde sur l’abîme.
- Ce qu’il y a de grand dans l’homme, c’est qu’il est un pont et non un but : ce que l’on peut aimer en l’homme, c’est qu’il est un passage et un déclin.
- Ce qui ne me tue pas me rend plus fort.
- Sans la musique, la vie serait une erreur.
- Il faut encore porter en soi un chaos, pour pouvoir mettre au monde une étoile dansante.
- Ce n’est pas le doute qui rend fou: c’est la certitude.
- Je ne pourrais croire qu’en un Dieu qui saurait danser.
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