Underhill. Mysticisme
Elle ouvrit les yeux sur un monde qui était naturel mais avait cessé d’être illusoire, car elle le percevait éclairé par la lumière incréée. Elle connut alors la beauté, la majesté, la divinité du monde vivant du devenir qui retient chaque être entre ses mailles… La réalité devint plus proche, car elle la voyait avec des yeux purs, non depuis quelque étrange et lointaine contrée spirituelle, mais avec douceur, depuis le cœur même des choses.
Evelyn Underhill. Mysticisme. 1911. Diffusion Rosicrucienne. 1994
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