Chet Baker à Milan. 1961 L’homme et sa musique intérieure.La foule et sa folie extérieure.Deux mondes parallèles qui se rejoignent à l’infini,L’universel réconcilié, enfin. Et de l’autre à moi, il n’y a qu’un pont, qu’un pas. Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ
Commentaires récents